Notre entreprise a été séduite par le mouvement initié par Alexandre Mars - fondateur d’EPIC (lien : www.epic.foundation) et auteur du livre « La révolution du partage » - qui souhaite que le don soit la norme.

Concrètement, il propose aux dirigeants de reverser 1% ou plus de leurs bénéfices annuels, aux salariés, l'arrondi sur la fiche de paie et aux clients, l'arrondi en caisse à sa fondation qui a sélectionné une trentaine d’ONG et d’entreprises sociales œuvrant dans 12 pays et ayant un fort impact social.

Ce partage d’une petite partie de nos revenus nous paraît nécessaire pour les raisons suivantes :

•    rationaliser le don, savoir où il va, le rendre automatique sans que le « seuil de douleur » ne soit atteint et qu’il pénalise nos budgets, nous semble positif voire vertueux,

•    une entreprise qui crée de la richesse et qui reverse même un petit pourcentage de ses recettes œuvre pour le bien commun,

•    elle attire les clients, les partenaires et les candidats à l’embauche (souvent issus des générations montantes) qui recherchent précisément cet objet social, sociétal ou environnemental,

•    enfin, cela permettra de raconter à nos enfants de belles histoires d’organisations sociales que nous soutenons dans les domaines de l’éducation, du sport, de la réinsertion, de l’accueil, de la santé, de la protection, de l’aide à l’emploi, etc...

Bref, nous faisons quelque chose, à notre petit niveau, pour la planète...